De retour des lacs italiens, voici quelques images qui, peut-être, vous donneront envie d'aller y faire un tour...

La suite dans l'album Les lacs du nord de l'Italie...

La photo de concert: un domaine inconnu pour moi.

Je me suis lancée hier avec un duo de la nouvelle scène lavalloise.

Piece of map

La suite de l'album c'est par ici: Pieceofmap

Pour les lavallois qui passent par ici et les voisins curieux...

Voila une exposition qui ne doit pas rougir à côté de celles de la capitale.

Festimages nature est le seul évènement du grand ouest où vous pouvez admirer la nature vue à travers les objectifs de photographes amateurs et professionnels.

Le Festival de Festimages Nature 5ème édition se déroulera à LAVAL EXPO,

Cette édition accueillera 26 expositions photographiques, 15 projections/conférences et 7 exposants matériels.

L'ensemble du programme est visible sur le site.

En marge du festival, cette année, plus de 2300 photographies numériques ont été reçues pour le concours.

 Les photos pré-sélectionnées par le jury sont d’ores et déjà visibles sur le site du festival

(et j'en ai sélectionné quelques unes ici en leur donnant le nom du photographe).

ici le site FESTIMAGES 

Ole Salomonsen est un photographe de paysage passionné situé dans la région arctique du nord de la Norvège. Pendant l'hiver arctique, de septembre à avril, il observe et photographie les lumières merveilleuses du Nord, ou aurores boréales. Tromsø où il habite, est l'un des meilleurs endroits au monde pour découvrir les aurores boréales.

"J'ai toujours été intéressé par l'art et la photographie, et pendant mon enfance, j'ai aimé peindre et dessiner. Mais ce n'est qu'en 2007, j'ai obtenu mon premier reflex numérique professionnel. J'ai tout photographié, du peuple à la faune. Ainsi, la plupart de mon travail est la photographie de paysage tiré de  l'Arctique. Je n'essaie aucunement de cacher le fait que je suis absolument et totalement en admiration devant les aurores boréales."

"Avec mon véritable amour pour ce phénomène, j'essaie au mieux de prendre des photos de celui-ci montrant comment il peut être." 

et puis un petit tour sur sa page ici

ici la vidéo avec envrion 15 000 photos mises bout à bout

Vincent Munier et son assistant Nanouk (la boule de poils) sont actuellement en Island.

Petit aperçu de ses dernières prises de vue...

En direct de Laval, pour fêter le passage en 2013...

De retour des Côtes d'Armor, j'aurais très bien pu prendre des bateaux en photo dans les ports bretons, ou bien les côtes sauvages du département, ou encore les navettes pour l'île de Bréhat...

Mais j'ai plutot choisi de m'attarder sur les cordages et le matériel rouillé des pêcheurs.  

Les couleurs et les détails m'ont plu...à vous de juger!

Rdv sur l'album De rouille et de cordes

The Real Toy Story, c'est un projet du photographe allemand Michael Wolf.

En cette période de Noël c'est plutôt d'actualité ...bien que le reportage ait déjà quelques années.

J'ai trouvé ce lien sur une page de radio nova (une vraie source de talents!)

A travers ces clichés, Michael Wolf cherche à montrer qui sont les travailleurs chinois qui remplissent la hotte du père noël.

Sur son site vous verrez les portraits des ouvriers, des images de l'usine et l'installation de l'exposition (remarquable également parce que Michael Wolf a collecté une quantité incroyable de jouets pour son exposition). 

club photo laval image

Pendant 3 ans j'ai fait partie du club photo de Laval.

Grâce à quelques bénévoles passionnés et motivés j'ai beaucoup appris... entre manipulation du matériel, prise de vue, échanges, visionnages de photos il y a de quoi s'occuper!

Je vous propose d'aller faire un tour sur le site. De nombreuses galeries de membres sont en ligne, ainsi que des ressources, des archives et bien sûr les actualités du club pour les mayennais souhaitant rejoindre l'équipe!

LAVAL IMAGE

"Nous formons une association culturelle qui a pour objet de promouvoir la photographie sous toutes ses formes et de permettre à chacun de progresser par l'échange de savoirs et d'expériences."

Le documentaire Ai Weiwei, Never Sorry signé d’une jeune Américaine, Alison Klayman, apporte un éclairage indispensable pour aller au-delà des clichés...

Le public français (et j'en fais partie) a réellement découvert Ai Weiwei cette année, avec sa première grande exposition parisienne au Jeu de paume; j'avais déjà d'ailleurs posté un petit article à cette occasion ici. 

« L’homme au doigt d’honneur »

Avec ce documentaire, on le découvre mieux dans son histoire, ses influences, sa complexité, et, pas assez sans doute, ses ambiguïtés et contradictions.

Alison Klayman et AI Weiwei

Le soutien d’un réseau de musées, d’artistes

A l’arrivée, on comprend pourquoi Ai Weiwei agace autant le pouvoir chinois, qui est aujourd’hui démuni pour faire face efficacement à ce phénomène.

Elton John et Ai Weiwei à Pékin (via Twitter)

Le mettre en prison ? C’est en faire un martyr disposant d’une gigantesque caisse de résonnance mondiale avec le réseau des musées, des galeries, des artistes, comme l’a montré la récente danse « Gangnam Style » menée par l’artiste Anish Kapoor en solidarité avec Ai Weiwei. Ou la récente sortie en sa faveur d’Elton John à Pékin.

Le laisser en totale liberté, c’est prendre le risque de voir se développer un courant libertaire au sein de la jeunesse urbaine, inspirée par l’exemple d’un homme qui se moque des convenances au point de faire un « doigt d’honneur » à la Cité interdite et à son portrait de Mao, ou de dire, face caméra : « J’emmerde ma patrie. » 

Aujourd’hui, Ai Weiwei n’a pas récupéré son passeport, mais, comme il le reconnaît, il est libre de ses mouvements en Chine. Et il a récupéré sa liberté de parole dont il ne se prive pas...

En finale de l’Oscar du documentaire

Alison Klayman le rend attachant, drôle et grave, provocateur et réfléchi. Comme lorsqu’il constate que parmi tous ses chats, un seul a appris à ouvrir les portes en observant les humains. Mais que la principale différence entre les hommes et les chats, est que ces derniers ne savent toujours pas refermer la porte derrière eux.

Rien que pour ça, « Ai Weiwei Never Sorry » est un film à voir. Il a d’ailleurs été sélectionné parmi les finalistes de l’Oscar du meilleur documentaire, ce qui n’a pas dû passer inaperçu à Pékin...

pour voir la totalité de l'articlem: http://www.rue89.com/2012/12/05/ai-weiwei-never-sorry-portrait-dun-artiste-chinois-derangeant-237569